Cinq films que je revois régulièrement, alors :
The Thing, version Carpenter. Que dire ? La perfection des plans, du montage (la séquence d’intro !), Kurt Russell, la magnifique créature, le huis-clos admirablement géré (c’est Assaut mais avec l’ennemi à l’intérieur !), la fin implacable... Un must !
The Thing, version Carpenter. Que dire ? La perfection des plans, du montage (la séquence d’intro !), Kurt Russell, la magnifique créature, le huis-clos admirablement géré (c’est Assaut mais avec l’ennemi à l’intérieur !), la fin implacable... Un must !
Vanishing Point (Point Limite Zero), de Richard C. Sarafian. Tarentino lui rend un (mol) hommage dans Boulevard de la mort (tiens, encore Kurt Russell !), mais reste très en deçà de son modèle. Le road-movie ultime, qui dit la désespérance d’une certaine Amérique post-vietnam, beaucoup mieux que, par exemple, Easy Rider. Un film sur l’absurdité de la vie et le sacrifice. Et puis Kowalski et sa Dodge Challenger, inoubliables !
Rambo, first blood. J’assume totalement ! Pour les mêmes raisons que les deux films précédents : pas une image en trop, un découpage et un montage du tonnerre, et cette peinture de l’Amérique prise au piège de ses traumas... La série B d’action ultime. Stallone n’a jamais été aussi bon (sauf dans le premier Rocky) qu’en pauvre type déboussolé qui se laisse rattraper par sa nature sauvage.
Southern Comfort (Sans retour) de Walter Hill (pour ce réalisateur, j’ai hésité avec The Warriors (Les guerriers de la nuit)). Vous avez aimé le Delivrance de John Boorman ? Moi aussi, mais voilà encore mieux ! Une bande de beaufs en manoeuvre avec la Garde Nationale dans les bayous de Louisiane volent un canoë à des Cajuns. Ceux-ci le prennent mal. Echange de coups de feu. Puis traque infernale dans le marais. Avec quelques scènes proprement hallucinantes, dont certaines à la limite du documentaire (vraie fête cajun à la fin du film – very, very roots !). Et une superbe galerie de seconds couteaux du ciné US : Powers Booth, Keith Carradine, Fred Ward...
Mad Max 2 : road warrior, George Miller – en attendant le Fury
Road de l’année prochaine ! Un film qui combine tous les avantages de
ceux cités plus haut. LE post-apo / road movie modèle, souvent imité,
jamais dépassé !
Rambo, first blood. J’assume totalement ! Pour les mêmes raisons que les deux films précédents : pas une image en trop, un découpage et un montage du tonnerre, et cette peinture de l’Amérique prise au piège de ses traumas... La série B d’action ultime. Stallone n’a jamais été aussi bon (sauf dans le premier Rocky) qu’en pauvre type déboussolé qui se laisse rattraper par sa nature sauvage.
Southern Comfort (Sans retour) de Walter Hill (pour ce réalisateur, j’ai hésité avec The Warriors (Les guerriers de la nuit)). Vous avez aimé le Delivrance de John Boorman ? Moi aussi, mais voilà encore mieux ! Une bande de beaufs en manoeuvre avec la Garde Nationale dans les bayous de Louisiane volent un canoë à des Cajuns. Ceux-ci le prennent mal. Echange de coups de feu. Puis traque infernale dans le marais. Avec quelques scènes proprement hallucinantes, dont certaines à la limite du documentaire (vraie fête cajun à la fin du film – very, very roots !). Et une superbe galerie de seconds couteaux du ciné US : Powers Booth, Keith Carradine, Fred Ward...
Mad Max 2 : road warrior, George Miller – en attendant le Fury
Road de l’année prochaine ! Un film qui combine tous les avantages de
ceux cités plus haut. LE post-apo / road movie modèle, souvent imité,
jamais dépassé !
Johan Heliot
