En 24 heures, une vie peut complètement basculer. Laura va en faire l'amère expérience. La veille de sa soutenance de thèse d'histoire, un inconnu va mourir dans se bras. Il aura tout juste le temps de glisser un petite tablette d'argile dans la poche de l'étudiante, avant de trépasser. Pour elle, les ennuis vont commencer. Les tueurs de l'homme vont se mettre à ses trousses, semant la mort dans l'entourage de Laura. Heureusement, entre son frère juge d'instruction, aux appuis politiques bien placés, et son vieux mentor pour les arts martiaux, elle est relativement en sécurité. Enfin, c'est ce qu'on pourrait penser s'il s'agissait de tueurs ordinaires... Parce que ceux-ci sont appartiennent à une secte sanguinaire dans le genre de celle qui apparaît dans Indiana Jones et le temple maudit, et ce ne sont vraiment pas des tendres. Ils ont des pouvoirs surhumains, leur permettant de tuer d'un simple regard. Et pour ne rien arranger, ils sont dirigés par une prêtresse aux ambitions complètement folles. Bref, Laura est dans de sales draps.
Mélangez cette histoire avec deux doigts de philosophie tibétaine, une cuillère de paranormal, et une pincée de mercenaires gardes du corps suréquipés, et vous obtiendrez un roman sympathique et agréable. La danse de Mahakala est une réussite pour un premier roman.