Le dernier Olympien

Le dernier Olympien

L'histoire

Cronos reconstitué, New York est en danger. L’anniversaire de Percy n’est que dans quelques jours. L’ultime choix va bientôt s’imposer. La Grande Prophétie va bientôt se réaliser. Percy va devoir décliner un voyage sur la plage avec Rachel et ses parents pour attaquer La Princesse Andromède avec Beckendorf, fils d’Héphaïstos. Mais même une fois la mission accomplie, le danger n’en finit pas de progresser. Car le vrai danger est Typhon, l’immense monstre qui marche sur New York en ce moment même. Comparé à lui, les Dieux sont minuscules et presque impuissants. Malgré le combat acharné de la quasi-totalité des dieux Olympiens, Typhon reste imperturbable et saccage la ville.

De retour à la Colonie, Percy a droit à l’entière vérité sur la Grande Prophétie. L’âme du héros, une lame maudite la fauchera. Il semble bien que son destin soit scellé. Le seul moyen pour Percy de vaincre Cronos en possession du corps de Luke, est de suivre Nico aux Enfers et de se baigner dans les eaux du Styx. Afin de devenir invincible, comme Achille et…comme Luke. Mais même invincible, la guerre ne fait que commencer. A la Colonie, les enfants d’Apollon et ceux d’Arès se disputent un char volant et les Apollon l’emportent. Mauvaise idée. Clarisse et ses frères et sœurs promettent de ne pas se battre aux côtés des Sang-Mêlés. Percy vient de perdre un atout important. Surtout que l’espion qui informe si bien Cronos n’a toujours pas été identifié.

Face aux Titans, Percy, Annabeth, les Sang-Mêlés, leurs renforts et les dieux vont livrer une bataille terrible. Mais tout ceci n’est que ruse. Cronos a l’intention d’envahir l’Olympe pendant que tous les dieux seront occupés. Presque tous. Il en reste quand même un. Un seul.
 
Le dernier Olympien.

Mon avis

Il y a énormément d’actions dans ce tome. J’aime beaucoup les préparations au combat, les batailles, avec les renforts, les dieux qui prennent part aux combats. Il y a peut-être moins d’humour dans ce tome (mais vu la situation, c’est normal). Il y a de grosses pertes très émouvantes.

 La référence à la vraie mythologie est parfois un peu approximative (j’ai du mal à croire que l’un des « fameux » monstres de Cronos en fasse partie) et l'auteur fait toujours preuve de beaucoup d’imagination (les statues de Dédale, par exemple).

La série s’achève sur une fin très réussie.