Premier tome de la saga fantastique et sensuelle
Felicity Atcock,
Les anges mordent aussi est écrit par la romancière française Sophie Jomain. On lui doit déjà une foule de romans :
Les étoiles de Noss Head (5 tomes),
Cherche jeune femme avisée ou encore
Quand la nuit devient jour.
Sa série
Felicity Atcock est toujours en cours aux éditions Rebelle et J’ai lu. Le sixième tome de la saga paraîtra en octobre 2016.
Un début étrange et en fanfare dans le monde « normal » de Felicity Bienvenue à Bath, une petite ville anglaise sans prétention aucune. C’est à quelques kilomètres que vit Felicity, une jeune femme qui travaille comme vendeuse au Plaisir des sens, un chocolatier de la ville. Mais le soir où elle rend service à sa collègue Daphnée pour l’amener à un de ses rendez-vous galants à Londres, Felicity va voir sa vie définitivement bouleversée. À cause de quoi ? D’une rencontre pour le moins… surnaturelle et charnelle ! Il semblerait que les vampires et les anges aient décidé de se mêler de sa vie de façon aussi inopinée qu’invasive… mais pourquoi donc ? Les réponses risquent d’être explosives !
De la bit-lit française de qualité Avec cette saga de Sophie Jomain, on peut définitivement dire que la bit-lit n’est pas l’apanage des auteurs américains. Chez nous aussi, nous avons des auteurs de qualité qui rendent addict, la preuve en est avec
Felicity Atcock ! Tout y est bien dosé : humour, personnages bien campés (à la fois drôles et captivants), intrigue vive et menée avec adresse…
On se prend vite d’affection pour l’héroïne, un brin folle et maladroite, n’ayant pas toujours des pensées chastes, même (et surtout) quand il s’agit d’anges ! Son amie Daphnée est plus difficile à apprécier tant elle semble superficielle et capricieuse, mais l’avenir nous dira si on a raison de penser cela.
En ce qui concerne les anges et les vampires que nous découvrons dans cette histoire, on appréhende leur organisation, leurs mythes ainsi que leurs règles étranges. C’est aussi ici que l’on découvre que Dieu existe et qu’il ne compte pas partager ses plans avec ses « employés », ce qui peut parfois créer quelques crispations…