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Education meurtrière

Naomi Novik (Auteur), Benjamin Kuntzer (Traducteur)
Aux éditions : 
Date de parution : 01/04/22  -  Livre
ISBN : 9782080242679
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Bienvenue à la Scholomance, une école pour les surdoués de la magie où l'échec signifie la mort... au sens propre. Dans cet établissement, il n'y a pas de professeurs, pas de vacances et pas d'amitiés, sauf celles qui sont stratégiques.El Higgins est particulièrement bien préparée pour sa première année. Elle n'a peut-être pas d'alliés, mais elle possède un pouvoir assez puissant pour raser des montagnes. Elle semble donc de taille à affronter cette scolarité hors normes. Le problème ? Sa magie pourrait aussi tuer tous les autres élèves.

SylvainB   - le 11/03/2022

Naomi Novik - Education meurtrière

Une autrice de fantasy renommée

Naomi Novik s’est faite connaître avec la série Téméraire (neuf tomes à ce jour) qui lui a gagné la faveur du public et a fait d’elle une des valeurs sûres de la fantasy anglo-saxonne. Elle a également obtenu le prix Nebula en 2016 avec Déracinée et le prix Locus en 2019 pour La fileuse d’argent. Education meurtrière est le premier volume d’une nouvelle série, Scholomance.

Une école meurtrière

Et voici donc l’histoire de Galadriel « El » Higgins, jeune magicienne qui fait ses études à Scholomance, une école dédiée aux surdoués de l’occulte. Une école au projet pédagogique original puisqu’il n’y ni classes, ni vacances, ni professeurs. En fait le but de survivre face aux menaces maléfiques, aux monstres et tutti quantti. El a ses chances car ses capacités sont hors normes. Mais elle a déjà failli mourir plusieurs fois, ne devant son salut qu’à l’intervention d’Orion Lake, un jeune garçon qu’elle dit détester. Que veut-il au juste celui-là ? Sortir avec elle ? La tuer ?

Une fantasy qui décoiffe

Tout au long des 300 pages que dure le roman, on peut dire que l’héroïne en voit des vertes et des pas mûres. Education meurtrière est au fond un anti-harry Potter : ici pas de maître bienveillant, pas d’amis, c’est la jungle pur, Only the strong survive comme le chantait si bien le soulman Jerry Butler. Distrayant. On attend la suite.

 

Sylvain Bonnet

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