Lensman a écrit :Gutboy!!!!Travis a écrit :Et Van Vogt dans tout ça, faudrait il aussi actualiser?
Oncle Joe
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Au 4 coins d'Paris qu'on va l'retrouver éparpillé par petits bouts, façon puzzle... Moi quand on m'en fait trop j'correctionne plus, j'dynamite... j'disperse... et j'ventile...
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
- Roland C. Wagner
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- Eons
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Encore eût il fallu que tu le prouvasses.gutboy a écrit :Si.Roland C. Wagner a écrit :Non.
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
Stephane, tel le chat de schrodingtrucdontlenomestimpossibleàécrire, tu es suspendu entre deux états: mort et vivant.
Le premier de ces états se rapproche de jour en jour:
AEVV, maintenant PKD, autant que tu te mettes tout de suite une pancarte: "cette vie ne m'interesse plus, merci de bien vouloir procéder à mon élimination"
Mort, bien entendu parce qu'Ubik est l'un des meilleurs romans de Dick. Chacun des trois aspects que tu trouves insuffisament développés, en eux seuls, sont une révolution.
Le second de ces états résulte d'un paradoxe:
Vivant, parce que bon, Substance Mort, quand meme.
En revanche je suis extrèmement surpris dans ton analyse, car il lui manque toute une partie sur le jeu des réalités. Juste une ligne, presque pour l'évacuer, alors que c'est le propos principal du roman à mes yeux. Dans ma réalité si je puis dire.
Réalités qui basculent sans cesse, qui existent un temps, qui reviennent en arrière, qui repartent, changent, ne sont pas celles dans lesquelle se déroule l'action, etc.
Juste deux exemples: la manière dont Patricia manipule le passé pour son mariage, cette scène est fascinante.
Ou encore le visage sur le dollar vers la fin, qui fait basculer complètement d'une réalité à une autre.
Le premier de ces états se rapproche de jour en jour:
AEVV, maintenant PKD, autant que tu te mettes tout de suite une pancarte: "cette vie ne m'interesse plus, merci de bien vouloir procéder à mon élimination"
Mort, bien entendu parce qu'Ubik est l'un des meilleurs romans de Dick. Chacun des trois aspects que tu trouves insuffisament développés, en eux seuls, sont une révolution.
Le second de ces états résulte d'un paradoxe:
Vivant, parce que bon, Substance Mort, quand meme.
En revanche je suis extrèmement surpris dans ton analyse, car il lui manque toute une partie sur le jeu des réalités. Juste une ligne, presque pour l'évacuer, alors que c'est le propos principal du roman à mes yeux. Dans ma réalité si je puis dire.
Réalités qui basculent sans cesse, qui existent un temps, qui reviennent en arrière, qui repartent, changent, ne sont pas celles dans lesquelle se déroule l'action, etc.
Juste deux exemples: la manière dont Patricia manipule le passé pour son mariage, cette scène est fascinante.
Ou encore le visage sur le dollar vers la fin, qui fait basculer complètement d'une réalité à une autre.
Modifié en dernier par gutboy le jeu. juil. 23, 2009 4:22 pm, modifié 1 fois.
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- Stéphane
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Je suis d'accord.gutboy a écrit :Juste deux exemples: la manière dont Patricia manipule le passé pour son mariage, cette scène est fascinante.
Je suis d'accord (pas trouvé où parler de la fin percutante du roman dans ma critique)gutboy a écrit :Ou encore le visage sur le dollar vers la fin, qui fait basculer complètement d'une réalité à une autre.
En fait, ma critique est plus une explication du pourquoi je n'ai pas trouvé Ubik généralissime. Pas un papier sur pourquoi c'est bon (mais je dis que ça l'est, enfin je crois). Je suis parti du principe que quasiment tout le monde a lu Ubik, sait que c'est bon et pourquoi et que je n'avais pas besoin de l'expliquer.gutboy a écrit :En revanche je suis extrèmement surpris dans ton analyse, car il lui manque toute une partie sur le jeu des réalités. Juste une ligne, presque pour l'évacuer, alors que c'est le propos principal du roman à mes yeux. Dans ma réalité si je puis dire.
- bormandg
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Ou le chat de Dick à la place de celui de Schrödinger? Miaou!Stéphane a écrit :N'ouvre pas la boîte, tu pourrais découvrir que c'est TOI qui est mortgutboy a écrit :Stephane, tel le chat de schrodingtrucdont lenom est impossibleàécrire, tu es suspendu entre deux états: mort et vivant.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Pussy, Dick...bormandg a écrit : Ou le chat de Dick à la place de celui de Schrödinger? Miaou!
Non rien.
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