Michaël Espinosa est né en 1973. Tour à tour professeur des écoles, critique des littératures de l’imaginaire (Pif Gadget, Galaxies, Sf Mag, Pavillon Rouge, www.yozone.fr) et romancier, il scénarise Chubby Chance côté BD chez La Boîte à Bulles. Une quinzaine d’années de hockey-sur-glace l’ont amené à scénariser Bodycheck ! aux côtés de AnK au dessin.
AnK touche très jeune au dessin. Fan de One Piece, d’Air gear, Tengo tenge et de Oh ! great, il expérimente un style mêlant ses références personnelles et les codes et l’énergie du manga. Bodycheck ! est son premier manga.
Un manga sportif...
Wayne Gradzy, numéro 9, meneur de jeu des Buffles et champion de hockey-sur-glace, ne se laisse pas patiner sur les pieds... sauf le jour de son accident où tout bascule.
Jeune lycéen parmi d’autres, il fait la connaissance de la belle Samantha, patineuse artistique. Sa rencontre décisive est surtout celle de Laura Bloch, adepte du street hockey, et de son ami Dominique. Face aux réactions étranges de Wayne concernant le hockey, Dominique se renseigne sur lui tandis que Laura tient à convaincre Wayne de devenir dixième joueur de champ, un attaquant pour être précis, afin que l’équipe de hockey-sur-glace de la ville puisse participer au Championnat.
Compétitions et amours sont au rendez-vous !
...qui ne fait pas dans la dentelle !
Pour les amoureux de la glisse, essentiellement !
L’histoire est sympathique et le lecteur aura l’occasion d’apprécier un modèle de héros fragile loin du stéréotype du héros invincible. On sent également un auteur passionné par le sujet. Néanmoins, dans l’ensemble, les personnages restent superficiels pour ce premier tome qui n’arrive pas à accrocher l’oeil de façon évidente. On regrette l’inégalité du dessin (pourtant dynamique, aux traits rapides) qui, lors des actions, devient réellement confus. Le lecteur ne perçoit malheureusement plus ce qui se déroule, à la différence des planches narratives plus calmes, et très détaillées.
Bodycheck ! revêt "un style BD" par son dessin crayonné et détaillé, où les personnages sont très carrés, et par son agencement des vignettes. S’inscrivant dans la lignée des "mangas à la française", le lecteur ne doit pas s’attendre à retrouver les ingrédients explosifs et humoristiques d’un manga japonais.
AnK touche très jeune au dessin. Fan de One Piece, d’Air gear, Tengo tenge et de Oh ! great, il expérimente un style mêlant ses références personnelles et les codes et l’énergie du manga. Bodycheck ! est son premier manga.
Un manga sportif...
Wayne Gradzy, numéro 9, meneur de jeu des Buffles et champion de hockey-sur-glace, ne se laisse pas patiner sur les pieds... sauf le jour de son accident où tout bascule.
Jeune lycéen parmi d’autres, il fait la connaissance de la belle Samantha, patineuse artistique. Sa rencontre décisive est surtout celle de Laura Bloch, adepte du street hockey, et de son ami Dominique. Face aux réactions étranges de Wayne concernant le hockey, Dominique se renseigne sur lui tandis que Laura tient à convaincre Wayne de devenir dixième joueur de champ, un attaquant pour être précis, afin que l’équipe de hockey-sur-glace de la ville puisse participer au Championnat.
Compétitions et amours sont au rendez-vous !
...qui ne fait pas dans la dentelle !
Pour les amoureux de la glisse, essentiellement !
L’histoire est sympathique et le lecteur aura l’occasion d’apprécier un modèle de héros fragile loin du stéréotype du héros invincible. On sent également un auteur passionné par le sujet. Néanmoins, dans l’ensemble, les personnages restent superficiels pour ce premier tome qui n’arrive pas à accrocher l’oeil de façon évidente. On regrette l’inégalité du dessin (pourtant dynamique, aux traits rapides) qui, lors des actions, devient réellement confus. Le lecteur ne perçoit malheureusement plus ce qui se déroule, à la différence des planches narratives plus calmes, et très détaillées.
Bodycheck ! revêt "un style BD" par son dessin crayonné et détaillé, où les personnages sont très carrés, et par son agencement des vignettes. S’inscrivant dans la lignée des "mangas à la française", le lecteur ne doit pas s’attendre à retrouver les ingrédients explosifs et humoristiques d’un manga japonais.