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Trois raisons de lire... Shining in the dark
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Trois raisons de lire... Shining in the dark

A l'occasion de la parution de Shining in the dark, le 16 octobre dernier aux éditions Actusf, découvrez trois raisons de lire cette anthologie incontournable !

La diversité des histoires

Vous ne savez pas quel genre lire ? Parfait. Shining in the dark explore plusieurs genres : la blanche, le fantastique, l’urban fantasy… des nouvelles qui s’étirent autour d’un but commun : vous faire frissonner. Si quelques histoires comptent sur leurs chutes, d’autres jouent sur l’ambiance, ou bien les personnages. De longueurs différentes, certaines sont faites pour être avalées d’un coup, alors que d’autres, divisées en parties, peuvent vous accompagner en lecture de chevet pour des nuits… perturbées ?
C’est parce qu’il est aussi éclectique que Shining in the dark peut plaire au plus grand nombre. Passez du deuil d’un enfant à la découverte d’une étrange créature par une policière en passant par la correspondance entre deux personnes qui.. qui finit mal, c’est le moins de le dire.

Le casting

Des grands noms seulement s’alignent pour cet ouvrage. Entrez dans des imaginaires sans rien d’autre en commun que ce livre. Des plumes très différentes toutes déjà reconnues pour avoir apporté quelque chose au genre, aux histoires, à la mythologie contemporaine. Stephen King ouvre la danse mais il est loin d’être le seul à maîtriser les pas nécessaires pour vous entrainer. Découvrez des écrivains rompus à l’exercice rassemblés dans un ouvrage déjà traduit dans plusieurs langues : Bulgarie, Italie, USA, Allemagne, Suède, Royaume-Unis, Serbie, Brésil, Grèce, Japon, etc.

L’horreur

L’horreur est rarement représentée dans la littérature, et se trouve souvent connue comme une lecture de « niche » connue uniquement par les amateurs. Pourtant, loin des clichés du « gore » ou de la « maison hantée », Shining in the dark propose plusieurs réflexions sur le genre. Accessible à tous (à partir d’un certain âge tout de même, mh). Les carrières et les productions des auteurs sont disparates et chacun possède une façon d’aborder le frisson, la peur, le malaisant qui lui est propre. Le recueil permet une entrée en la matière pour qui n’est pas encore amateur du cauchemardesque mais pour qui a déjà traîné les pieds dans le milieu.

Gaëlle Giroulet

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