Le web est parfois plein de trouvailles...
Le site Tor.com vient de faire un article pour dévoiler une version aquarelle de Blade Runner, le film tiré du récit de Philip K.Dick. Elle vient de remonter des tréfonds du web. Il y a douze ans, un certain Anders Ramsell apeint 12 597 tableaux à partir du film de Ridley Scott et mis en ligne cette étonnante vidéo de 35 minutes. Voilà qui est étonnant. On vous laisse en profiter.
Voici le résumé wikipédia de Blade Runner :
"En novembre 2019, dans un Los Angeles pluvieux et crépusculaire, perpétuellement couvert de smog. La planète a vu disparaitre la quasi-totalité de la faune, à la suite de la surexploitation, de la pollution, des guerres (nucléaires) et du dérèglement climatique d'origine anthropique. La population est encouragée à émigrer vers les colonies situées sur d'autres planètes. Pour les besoins des humains, ont été créés des animaux artificiels, ainsi que des androïdes, non pas des robots mécaniques mais des êtres vivants dont les organes, fabriqués indépendamment, et par manipulation génétique, sont assemblés pour leur donner apparence humaine. Ils sont appelés « réplicants » (parfois orthographié « répliquants »). Ceux-ci sont considérés comme des esclaves modernes, et utilisés pour les travaux pénibles ou dangereux, dans les forces armées ou comme objets de plaisir.
Les réplicants sont fabriqués par la seule Tyrell Corporation, dirigée par Eldon Tyrell, et dont le siège est installé dans le colossal building pyramidal qui domine la ville. Après une révolte sanglante et inexpliquée de réplicants dans une colonie martienne, ceux-ci sont interdits sur Terre. Des unités de police spéciales, les blade runners, interviennent pour appliquer la loi contre les contrevenants androïdes, qui consiste à tuer tout réplicant en situation irrégulière ; cette opération est appelée « retrait ». Les androïdes les plus modernes étant difficiles à distinguer des humains, les blade runners doivent enquêter longuement, soumettre un questionnaire établissant l'absence d'empathie des robots (ils n'en éprouvent pas), afin d'avoir la certitude qu'il s'agit bien d'un androïde à détruire."