La dissonance la plus évidente de la nouvelle « Ceux qui partent d’Omelas » est sans doute cet enfant qu’il faut maltraiter pour vivre heureux. C’est souvent ainsi que l’on présente l’enjeu d’Omelas. Pourtant, quelque chose sonne faux dans cette manière de comprendre le texte. Ce thème simpliste ne ressemble pas à Ursula K. Le Guin… encore une dissonance… et s’il fallait chercher ailleurs ?
Avec Cléo Collomb