White Tower rocks

White Tower rocks

Il s’agit du premier manga publié en france de Tite Kubo, jeune auteur (il est né en 1977) mais au Japon, il a déja publié Zombie Powder (série en 4 volumes).
Bleach est un shonen, cela signifie “jeune garçon” et c’est donc ce public qui est visé. On y retrouve souvent actions, combats ou sports.

Révélations en cascade

Parti délivrer Rukia Kuchiki, la shinigami à laquelle il est lié car elle lui a donné une partie de ses pouvoirs, Ichigo est blessé. Il est alors emmené et soigné par Yoruichi qui va, à l’occassion, lui dévoiler sa véritable apparence mais également des choses sur son zanpakuto.
Pendant ce temps, Ganju, Hanataro et Rukia sont confrontés Byakuya Kuchiki. Mais le combat ne va pas se dérouler comme on s’y attend. Des intervenants exterieurs vont modifier la donne.
La cité des Shingamis est en émoi à la suite de la mort de Aizen et tous cherchent les maléfices errants. Pour s’échapper, Inoue et Uryu se sont déguisés en shinigami. Toutefois, cela ne va pas abuser le capitaine de la 12ème division, Kurotsuchi Mayuri.
Cet être au corps mécanique est un sadique, totalement dépourvu de pitié même envers ces propres hommes.
Le combat s’annonce difficile.

On aime ou on aime pas

Si vous aimez uniquement les scénari à la Monster (Kana) ou 20th Century Boys (Generation Comics) avec du suspense et des mondes assez réalistes, Bleach n’est pas forcément pour vous. Par contre, si vous êtes fan des sagas du type Dragon Ball ou Naruto, alors n’hésitez pas, fonçez, vous allez vous régaler.
On retrouve tous les ingrédients qui font le succès de ces séries: supers pouvoirs, ennemis diaboliques, quête ou délivrance et amitiés indéfectibles.
Le succès de telles histoires s’explique notamment par le fait que les héros évoluent énormément au cours des volumes et qu’ils sont souvent confrontés à des épreuves. Cela trouve une raisonance avec certains cotés de l’adolescence.

Tite Kubo fait apparaitre des personnages féminins avec des pouvoirs et qui ne sont pas justes les “copines” des héros qui se font enlever ou qui jouent les faire-valoirs. Cette tendance se retrouve de plus ne plus dans les shonen car les filles se mettentà les lire aussi.
Seul critique (commune à de nombeux mangas et manwha), beaucoup de cases n’ont aucun décor de fond !!
Niveau graphisme, les personnages sont clairement identifiables, les dessins épurés sont vraiment agréables à regarder. Les actions et les mouvements des personnages sont bien rendus.
A suivre...