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Photo de Kundan 3 : la nuit éternelle

Kundan 3 : la nuit éternelle

Emmanuel Civiello (Dessinateur)
Aux éditions : 
Date de parution : 15/10/25  -  BD
ISBN : 9782344065969
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Inde, début du XXe siècle. Logé au palais du maharajah, Kundan, qui a pris les traits de Lord Benedict, prépare sa vengeance contre la couronne britannique. Manipulateur et pervers, il séduit la fille du souverain, Mary, et la transforme en vampire, tout comme les Thugs dans la forêt qu’il soumet à son pouvoir. La maladie mystérieuse qui semble se répandre dans la population, ravivant sombres légendes et anciennes croyances, n’est autre que le Mal… Une puissante armée se lève, et rien ni personne ne semble pouvoir empêcher Kundan d’écraser ceux qui ont jadis détruit sa famille et sa lignée. Alors que l’ultime bataille approche, Kavi, la fidèle dame de compagnie de Mary qui se méfie de Kundan, se rend au temple de la déesse Durga. Ses prêtresses ont autrefois vaincu les créatures des ténèbres. Kavi serait-elle l’unique espoir de contrer le règne des vampires ?

SylvainB   - le 03/11/2025

Luana Vergari et Emmanuel Civiello - Kundan 3 : la nuit éternelle... Le grand final !

L’affrontement arrive

Kundan, toujours caché sous l’identité de Lord Benedict, réside au palais du Maharaja à Cochin. Il se remémore comment, déjà devenu vampire, il a assassiné ses parents. Ses projets de ramener la race des Baital, des vampires, à la vie avance très bien, tout comme son alliance avec les Thugs. Il a même réussi à asseoir sa possession sur l’esprit et l’âme de la princesse Mary. Kiva, adepte de la déesse Durga et grande ennemie des Baital, se rend peu à peu compte du complot et va se dresser sur sa route. Mais n’est-ce pas déjà trop tard ?

Le grand final

Tout est réglé dans ce troisième tome de l’histoire imaginée par Luana Vergari pour mener à une sorte de bataille finale entre vampires et humains ; le sang coule alors à flot. Le graphisme torturé d’Emmanuel Civiello s’avère parfait pour ce type d’univers qui vire au cauchemar sanglant. La fin n’en est pas une et laisse la porte ouverte à un autre développement (peut-être ?). Ce troisième volume de Kundan est à lire en tout cas, comme les précédents.

 

Sylvain Bonnet

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