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Olivier Paquet

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Biographie

Né en 1973, j'ai commencé à publier mes premières nouvelles dans la revue Galaxies, sous le patronage de Richard Canal et Jean-Claude Dunyach, pas moins. J'ai eu la chance de recevoir le Grand Prix de l'Imaginaire, catégorie nouvelles pour "Synesthésie" en 2003, la même année où je publiais mon premier roman Structura Maxima chez Flammarion dans la collection Imagine dirigée par Jacques Chambon. Malheureusement, suite au décès prématuré de celui-ci, il m'a fallu du temps pour retrouver un éditeur chez qui me sentir à l'aise et c'est en 2011 que j'ai publié chez l'Atalante, Les Loups de Prague, puis ma trilogie de space opera, le Melkine (Prix Verlanger), les années suivantes.

J'aime bien osciller entre le texte assez court et le roman, j'aime les deux formes et leur potentiel particulier. Depuis mes débuts, j'essaie de présenter une science-fiction européenne, en puisant dans les ambiances et les références de notre continent, pour montrer qu'il a un avenir. Depuis 5 à 6 ans, en m'intéressant à la question des Intelligences artificielles, j'essaie de développer une anticipation plus intime, une manière de traiter les nouvelles technologies au plus près des personnes, pas seulement pour dénoncer leur emprise, mais surtout pour identifier le vide qu'elles essaient de combler. Leur diffusion n'est pas qu'un plan marketing. Les smartphones, les réseaux sociaux mettent en lumière nos failles, nos échecs et il faut en avoir conscience pour ne pas en être esclave. Ces technologies sont des révélateurs humains et c'est ce que j'explore dans mes nouvelles ou dans mon dernier roman, Les Machines fantômes.
 
La photo est (c)Francis Malapris

Bibliographie

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