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DUST : London Falling

Date de parution : 26/11/24 - BD

ISBN : 9782940785025

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Une aventure trépidante dans laquelle il y a un peu de Hellboy, un peu de Cthulhu, un peu d’Indiana Jones et beaucoup d’action! 1947, Londres est occupée. Dans les immeubles éventrés, les enfants se battent contre des rats pour glaner des restes de nourriture. Dans le palais de Buckingham, l’élite allemande dîne dans la vaisselle de la Reine. Les uchronies mettant en scène des nazis avides de pouvoirs occultes fleurissent et promettent une réserve d’histoires intarissable pour tous ceux qui ont grandi avec Indiana Jones. La licence DUST, série de comics créée par Paolo Parente dérivée en jeu de plateau, explore un monde parallèle dans lequel les nazis ont gagné une confortable avance technologique grâce à un artefact retrouvé en Antarctique et à la maîtrise de forces obscures....

SylvainB - le 17/03/2025

Dust London Falling de Paolo Parente... Des nazis, des zombies, de la magie et des anciens dieux !

Nazis, magie et anciens dieux

L’Angleterre a finalement été envahi par les nazis qui ont mis au point des méchas révolutionnaires. Londres est occupée, partiellement en ruines mais des soldats alliés continuent de résister. Parmi eux, la patrouille de la major américaine Anderson, qui compte un vétéran à moitié fou, Rhys, une jeune psychopathe nommée Abernathy, le jeune Jim et l’allemand Hoffman, un allemand qui a été viré de la marine pour homosexualité. Bref, tout ce beau monde doit empêcher l’équipe du docteur Kilne d’invoquer un dieu du mythe, Nodens, afin de le contrôler pour vaincre les alliés. Pour ce faire, ils doivent mettre la main sur un artefact, l’anneau de Silvianus. Seul Anderson sait où est l’anneau. L’équipe du major Washington va le faire évader et essayer de mettre la main sur l’anneau. Mais les nazis les suivent et des zombis les pourchassent !

Quelle aventure !

Cette minisérie écrite par Paolo Parente dérive d’un jeu de plateau, DUST, qui se passe dans un monde parallèle où les nazis ont gagné. Le tout mélange pas mal d’influences dont celle de Lovecraft et de son mythe de Cthulhu, Hellboy aussi. On peut dire qu’on ne s’ennuie pas au cours de cette centaine de pages, l’action est menée tambour battant. Ce n’est pas original, loin s’en faut, mais amusant et distrayant, malgré un dessin parfois approximatif au niveau des visages. Beaucoup aimeront.

Sylvain Bonnet

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